Enchantée, je suis Gisèle, du blog La Belle & le Diabète. Je vous partage dans cet article mon expérience en tant que diabétique de type 1 autour de l’alimentation, et plus tard, ma découverte de la marque Archie !
L’Alimentation et les glucides dans le cadre d’un Diabète de type 1.
Pour rappel, le Diabète de type 1, qui ne représente que 10% des cas de Diabète est une maladie auto-immune qui n’est pas causée par l’alimentation. Ce sont nos anticorps qui se sont attaqués à nos cellules pancréatiques jusqu’à la dernière, et nous devons donc nous administrer manuellement de l’insuline, que ce soit par stylos d’insuline ou pompe à insuline. Lorsqu’une personne saine mange quelque chose qui contient des glucides, le cerveau envoie l’information au pancréas, et ce dernier va alors libérer de l’insuline. L’insuline est la clé qui va permettre au sucre de passer du sang, aux cellules et aux organes pour les nourrir. Sans elle, le sucre reste coincé dans le sang en trop grande quantité : on parle d’hyperglycémie. Une personne non diabétique ne peut pas en faire avec un pancréas fonctionnel. Au contraire, s’il y a eu trop d’insuline d’administrée, ou qu’une activité sportive surprise a vidé le stock, on parle d’hypoglycémie. Cette dernière n’est pas réservée aux diabétiques.
Un diabétique de type 1 n’a donc pas de régime alimentaire en pratique, mais il doit connaître sa sensibilité à l’insuline, et avoir conscience de chaque glucide qu’il ingère, de manière à pouvoir adapter sa dose d’insuline. Nous gérons continuellement notre taux de sucre dans le sang, appelée la glycémie, en fonction de nombreux facteurs qui peuvent la faire varier, comme l’alimentation, le sport, les émotions, le stress, les infections, etc. Cela peut devenir très technique.
Alimentation HEALTHY, glycémie HAPPY
Même si nous n’avons en théorie aucun régime alimentaire, les diabétiques de type 1 n’en restent pas moins des êtres humains. Plus on mangera varié et équilibré, mieux le corps fonctionnera (dont notre sensibilité à l’insuline), et plus facile sera donc la gestion de notre Diabète.
Certains ont déjà la chance d’être très réactifs à l’insuline, et n’ont pas forcément eu à cheminer en ce sens. Mais personnellement, ce n’était pas mon cas, et ma qualité de vie ne me satisfaisait pas. Dès que je mangeais un peu gras ou sucré, je n’arrivais pas à réguler ma glycémie, et c’étaient des journées entières qui partaient en fumée, pour le simple plaisir d’un plat de Carbonara. J’ai donc commencé à me renseigner sur les types d’aliments et leurs effets sur la glycémie, et je me suis faite accompagner par des professionnels de la Nutrition, en plus d’un bon diabétologue.
Pour commencer, il est évident qu’il faut éviter la nourriture transformée, souvent trop riche en sucre et en graisse, mais pauvre en nutriments. Il est intéressant de se tourner vers des aliments plus sains, comme les fruits et légumes, les céréales, les légumineuses etc. Dès lors qu’on compose des repas complets avec des fibres (crudités, légumes cuits, fruits, etc.), des protéines (animales ou végétales) et des féculents, qu’ils soient complets ou non, on s’aperçoit que le corps assimile bien mieux les glucides. En faisant cela, on tombe naturellement sur des repas à IG bas (Index Glycémique bas = se dit des aliments qui libèrent le glucose lentement, contribuant ainsi à maintenir une glycémie stable : aliments complets, riches en fibres et non transformés). La consommation de lipides est également importante, mais dans notre société d’opulence, elle se fait sans trop d’efforts entre la graisse de nos poissons et nos sauces d’accompagnement… On nous conseille plutôt d’être vigilant à ne pas dépasser nos besoins. Pour ma part, dès que je perds en sensibilité à l’insuline, c’est mon premier levier, et je retrouve vite une meilleur réactivité. Je précise cependant que je fais beaucoup de sport, qui est également un outil puissant pour devenir plus réactif à l’insuline.
Les limites et pièges du contrôle
Le souci lorsqu’on s’engage dans la voie de « l’optimisation » de son alimentation, c’est qu’on tombe vite dans l’hyper contrôle et la privation. De plus, il n’est pas nécessaire (et selon son profil de santé, il peut même être dangereux) de ne manger qu’IG bas. Soyons réaliste, la vie, ça ne peut pas être que de la quinoa et de la salade. Parfois, on a envie d’un repas plus réconfortant, ou de profiter d’un apéritif entre amis, sans se priver. Et c’est très important de savoir le faire, de façon à toujours garder un équilibre entre sa glycémie et sa santé mentale.
Comment survivre à un repas riche
La première chose est bien sûr de bien connaître sa sensibilité à l’insuline et ses réglages pour adapter correctement ses doses. Je ne rentrerai pas dans les détails ici, mais c’est un sujet que j’ai de nombreuses fois abordé dans mon blog.
Malheureusement, que ce soit parce que vous ne maitrisez pas encore tout, ou que votre Diabète est peu coopératif, il arrive que cela ne suffise pas à éviter l’hyperglycémie post-prandiale : celle qui surgit plusieurs heures après un bon repas bien riche.
Comment Archie est devenu mon allié ?
Et c’est enfin ici que je vais vous parler de mon expérience du vinaigre de cidre Archie ! J’ai entendu beaucoup de choses sur des soit-disants régulateurs de glycémie naturels, comme l’huile de son riz, la cannelle, et j’en passe. Mais à titre personnel, cela n’a jamais fait aucune différence (excepté à mon porte-monnaie). J’étais donc très sceptique lorsqu’on m’a parlé du vinaigre de cidre.
Cependant, en lisant ce que Google avait à m’offrir sur le sujet, j’ai vite trouvé que des études avaient été faites. Ces études ont montrées que l’acide acétique du vinaigre du cidre améliorait la sensibilité à l’insuline, et donc stabilisait la glycémie (en complément d’une dose adaptée d’insuline pour les insulino-dépendants, ou de la prise de d’anti-diabétiques oraux pour les diabétiques de type 2), tout en évitant les pics violents d’hyperglycémie. Pour les curieux, il semblerait que le vinaigre de cidre parvient, grâce à ses enzymes, à faciliter la digestion. Cela s’explique par la « prédigestion » des protéines et donc la facilitation de la dégradation des graisses.
Bref. Je me suis sentie rassurée et j’ai décidé de tenter l’expérience, qui fut très, très positive. Comme je l’ai expliqué en détails sur mon blog, j’ai constaté une amélioration de plus de 40% sur mes gros pics d’hyperglycémies. Lorsque j’ai publié l’article, j’ai aussi eu de nombreux retours d’autres patients. Je vous invite sincèrement à tester si vous hésitez encore. Vous n’avez rien à perdre de toute façon, les effets positifs du vinaigre de cidre ne s’arrêtant pas à la régulation de la glycémie.
Ma routine avec Archie
Vous l’aurez compris, depuis cette expérience, je consomme régulièrement du vinaigre de cidre. Je n’en prends pas forcément tous les jours, n’étant pas quelqu’un de très assidue en dehors de mon insuline. Mais lorsqu’un repas riche m’attend, et que je sais qu’il va me donner du fil à retordre, j’en prends une cuillère à soupe (avec du sirop de Yacon parce que je suis une petite nature), et tout se passe bien mieux !
Quant au choix de cette marque, il m’est apparu comme une évidence lorsque j’ai appris qu’il valait mieux le choisir BIO de préférence, et impérativement non filtré et non pasteurisé. J’ai rapidement remarqué la marque Archie avec ces spécificités en plus dans ma recherche, et en voyant la beauté de la bouteille, j’ai craqué. Je suis aussi graphiste de formation, et je l’avoue, leur communication ensoleillée a eu raison de moi. C’est toujours plus agréable de consommer un produit créé par des gens dynamiques et éthiques, non ?
Article écrit par Gisèle, vous pouvez retrouver son blog juste ici : https://labelleetlediabete.com/.